Les feuilletons qui vous faisaient ch...

Quand vous étiez petit.

"La Dynastie des Forsyte (The Forsyte Saga) est un feuilleton télévisé britannique en 26 épisodes de 50 minutes, adapté du roman éponyme de John Galsworthy" dit Wikipédia.
26 épisodes seulement ? ça comptait double, alors.

C'était en noir et blanc pluvieux et ça venait polluer le début de l'aprèm', juste après le journal télévisé pompidolien (qui pourtant remplissait déjà très bien cette fonction) au début des années 70. On pouvait pas zapper, y avait qu'une seule chaîne.
C'était des grandes personnes qui n'arrêtaient pas de causer de trucs de grandes personnes, et de causer encore, et qui, le reste du temps se baladaient en redingote et gibus dans les rues de Londres (j'ai appris plus tard que c'était Londres), grises et pluvieuses les rues.
Quand je voyais un type en redingote et gibus à la télé, je disais : "zut ! Encore un Forsyte !"
Traumatisé j'étais.
Je vous dis pas les cures de Vidocq que j'ai dû faire. (Période Claude Brasseur.)
Quand on eu la couleur (au milieu des 70's) et que le mec de la bourse passait à la fin du JT, on retrouvait cette ambiance. Même en couleurs, il paraissait gris, le mec. Derrière, y avait des types qui beuglaient autour d'une corbeille. Z'avaient déjà l'air con.



Nans le Berger.
Je suivais pas mais j'avais l'impression que ça passait tout le temps.
ça a duré deux ans.
Sans remise de peine. C'est l'histoire d'un berger qui s'appelle Nans. Le générique annonce la couleur : écoutez la flute stridente et les percussions bien grasses. La boue du terroir lui colle au sabot, à Nans. Et il a le pas lourd. Et ça se sent.
C'était en couleurs mais profondément déprimant.
Nans se fait broyer le torse par un rocher. Il est mort. Le feuilleton continue : c'était une saga familiale !


Le samedi soir, après Numéro un, l'émission de variétés avariées des Carpentier, on avait le droit à de chouettes feuilletons. Ou à Peyton Place. Même si on avait été sage. C'est pô juste !
On a pas eu l'intégralité des 514 épisodes. Par contre, des redifs par salves de 30 épisodes, ça oui. Ceux qui critiquent Dallas ou la petite maison dans la prairie ne se rendaient pas compte ! Peyton Place, c'était pareil, mais en noir et blanc moche. Le linge sale de la bourgeoisie locale déballé à longueur d'épisode dans des décors en carton pâte... Il aurait fallu noyer une lycéenne et faire débarquer un enquêteur du FBI qui cause à son enregistreur pour rendre le truc un chouïa intéressant.


C'est tout pour l'instant.
A vous de réagir et de compléter. ;)

Moi ce qui me faisait chier, c'était les soaps que ma grand-mère regardait quand j'étais en vacances chez elle : Amour, gloire & beauté (Top Models en Belgique) et les séries brésiliennes qui passaient l'après-midi (Dona Beija ou Préférée)

Le pire c'est que mon grand-père rouspétait quand je regardais Dragon ball Z le matin...

Ah, mais ça, les soaps, c'est hors course.
T'avais dû être vraiment méchant pour que ta grand-mère t'inflige ça.

J'étais plus grand quand ça passait :

Plus crispant qu'Arnold et Willy !
Le gamin était blond aux yeux clairs et avait une voix de frangipane, et en plus, il était deux !!! Il avait une sœur jumelle accouchée sous Rank Xerox !
A passer au concasseur !
Ils étaient orphelins (m'étonne !) et recueillis par leur tonton Bill qui était... tin tin tin... Espion ! (Dady Warbucks n'en voulait pas ?)
Mais ça, on s'en foutait, il aurait pu être représentant en aspirateur à la Havane ou commis voyageur pour Pernaud-Ricard, ça n'avait rigoureusement aucune incidence sur le récit, sorte de traité de savoir-vivre à l'usage des morveux WASP administré par leur nounou, le gros majordome barbu.

Quand je suis tombé dessus, j'en revenais pas : qu'est-ce que c'est que ce vieux tromblon qu'on nous ressortait d'où d'ailleurs ? Y avait pas assez de série inédites intéressantes pour qu'on nous inflige ça ?

Brian Keith (tonton Bill) a joué le rôle de Teddy Roosevelt dans Le Lion et le Vent de Millius.
Je dis ça comme ça.

J' adore la façon dont tu relates le bonheur ressenti devant ces distractions éprouvantes !
Et dire que certains pensent que l' on s 'ennuie sans la télé !

J' ai moi aussi pas mal d'exemples, mais le plus dur est de trier le pire du pitoyable ! (Merci la SFP éclairée à la lampe de poche !)

Zaitchick a écrit:

J'étais plus grand quand ça passait :

Plus crispant qu'Arnold et Willy !
Le gamin était blond aux yeux clairs et avait une voix de frangipane, et en plus, il était deux !!! Il avait une sœur jumelle accouchée sous Rank Xerox !
A passer au concasseur !
Ils étaient orphelins (m'étonne !) et recueillis par leur tonton Bill qui était... tin tin tin... Espion ! (Dady Warbucks n'en voulait pas ?)
Mais ça, on s'en foutait, il aurait pu être représentant en aspirateur à la Havane ou commis voyageur pour Pernaud-Ricard, ça n'avait rigoureusement aucune incidence sur le récit, sorte de traité de savoir-vivre à l'usage des morveux WASP administré par leur nounou, le gros majordome barbu.

Quand je suis tombé dessus, j'en revenais pas : qu'est-ce que c'est que ce vieux tromblon qu'on nous ressortait d'où d'ailleurs ? Y avait pas assez de série inédites intéressantes pour qu'on nous inflige ça ?

Brian Keith (tonton Bill) a joué le rôle de Teddy Roosevelt dans Le Lion et le Vent de Millius.
Je dis ça comme ça.

Ca me dit vaguement quelquechose,
Je l'ai surement vu sur feu LaCinq en rediffusion et non lors de la première diffusion.

MRD... TOP MODELE XD
C'est un méchant citron...et je connais pire...

Les feux de l'amour... top citron !

*citron synonyme de Navet...pour dire vraiment mauvais comme film

C'est méchant pour les agrumes, ça.

Ma grand-maman regarde les Feux de L'amour a tout les jours lol

mrd moi c'est mon père de son vivant... dans le sous-sol je descendaiS et il regardait ça...bien qui s'endormait devant XD.
Le pire mon grand-père aussi ahaha!

Chez moi c'était plutôt la passion de mon père pour les évènements sportifs qui était pénible... (surtout quand ça m'empêchait de voir Goldorak !)

pour ma part c'est dynastie dallas et tout ce qui est dans ce style ma mere adorer regarder ca

Moi, c'est ma grand-mère.
J'étais le nez dans mon Strange et, dès qu'elle s'absentait, elle me demandait de suivre pour voir ce qui allait se passer.
Invariablement, je répondais, "Cliff Barnes vient d'entrer dans un immeuble."
Je vous dis pas le nombre d'immeubles qu'il a pu visiter, Cliff Barnes.

lol

Il y a bien longtemps, dans une lointaine galaxie, Glen A. Larson, producteur de télévision viola La Guerre des Étoiles et lui fit des petits... Ma foi fort laids : Battlestar Galactica et Buck Rogers... C'est surtout le premier qui fut ... redoutable !

La chose (l'épisode pilote) fut d'abord distribuée comme un vrai film de cinéma chez nous (Qui eut une suite encore pire)... avant d'être programmé dans L'Avenir du Futur puis d'être diffusé pendant l'été dans l'émission Temps X.
L'argument : l'espèce humaine a été décimée par une race de cyborgs. Les derniers survivants forment un convoi qui doit les mener vers une terre promise (!), notre Terre, colonisée par une colonie perdue.
Accusé de plagiat, Larson se défendit en prétendant s'être inspiré de la Bible et non d'un obscur film de Space Opera de 1977.
N'empêche, les Cylons rappellent d'autres guerriers en armures (mais sans filtre-étoile) et les combats interstellaires ont un petit air de déjà vu (peut-être parce que Larson avait débauché des techniciens de Lucas.)
N'importe, le problème était ailleurs. Le spectateur, attiré par la promesse de péripéties riches en effets spéciaux, était forcé de constater que le niveau de la chose ne dépassait pas celui d'une basique série télé. Le scénario recyclait des intrigues de western, de films de guerre (voire de propagande - avec les "Forces de l'Est" apparaissant dans un épisode) ou de films catastrophes avec des personnages généralement ternes (Lorne Greene, le patriarche queutard de Bonanza jouait les Moïse post-atomiques, Richard Hatch, échappé des Rues de San Francisco, tirait la gueule, Dirk Benedict en rajoutait dans une fonction de proto-Futé...), le tout sur un rythme languissant avec des dénouements sans réelle surprise (les "caïds" Cylons se faisant régulièrement démolir, ce qui relativisait beaucoup leur caractère de menace.)
Bref, annoncée comme une série de science-fiction novatrice, Galactica n'était qu'un pétard mouillé qui tirait vers le bas la réputation des séries de Space-Opera.

Tout ce que je me rappelle de Richard Hatch, c'est qu'avec ma copine de l'époque on trouvait qu'il aurait fait un Actarus "live" acceptable... alors que D. GALL doublait une autre voix dans la VF de ce feuilleton.




(il faut nous pardonner, nous étions bien jeunes...)

Zaitchick a écrit:

Il y a bien longtemps, dans une lointaine galaxie, Glen A. Larson, producteur de télévision viola La Guerre des Étoiles et lui fit des petits... Ma foi fort laids : Battlestar Galactica et Buck Rogers... C'est surtout le premier qui fut ... redoutable !

La chose (l'épisode pilote) fut d'abord distribuée comme un vrai film de cinéma chez nous (Qui eut une suite encore pire)... avant d'être programmé dans L'Avenir du Futur puis d'être diffusé pendant l'été dans l'émission Temps X.
L'argument : l'espèce humaine a été décimée par une race de cyborgs. Les derniers survivants forment un convoi qui doit les mener vers une terre promise (!), notre Terre, colonisée par une colonie perdue.
Accusé de plagiat, Larson se défendit en prétendant s'être inspiré de la Bible et non d'un obscur film de Space Opera de 1977.
N'empêche, les Cylons rappellent d'autres guerriers en armures (mais sans filtre-étoile) et les combats interstellaires ont un petit air de déjà vu (peut-être parce que Larson avait débauché des techniciens de Lucas.)
N'importe, le problème était ailleurs. Le spectateur, attiré par la promesse de péripéties riches en effets spéciaux, était forcé de constater que le niveau de la chose ne dépassait pas celui d'une basique série télé. Le scénario recyclait des intrigues de western, de films de guerre (voire de propagande - avec les "Forces de l'Est" apparaissant dans un épisode) ou de films catastrophes avec des personnages généralement ternes (Lorne Greene, le patriarche queutard de Bonanza jouait les Moïse post-atomiques, Richard Hatch, échappé des Rues de San Francisco, tirait la gueule, Dirk Benedict en rajoutait dans une fonction de proto-Futé...), le tout sur un rythme languissant avec des dénouements sans réelle surprise (les "caïds" Cylons se faisant régulièrement démolir, ce qui relativisait beaucoup leur caractère de menace.)
Bref, annoncée comme une série de science-fiction novatrice, Galactica n'était qu'un pétard mouillé qui tirait vers le bas la réputation des séries de Space-Opera.

J'ai vu la série il n'y a pas si longtemps que ça.
La seconde saison, il y a quelque semaines seulement.
Il est vrai que c'est une série comme toutes les autres.
Ce n'est pas dégueulasse même si la seconde série a été la plus décriée.
Ca se regarde sans plus.

Les allusions bibliques gâchent plus l'histoire qu'autres choses.

Ca tombe à plat surtout lorsque arrive cette race extraterrestre angélique, celle avec son vaisseau de cristal avec son chef qui incarne Dieu sorti de "l'île fantastique" et pouvant ressuciter les gens :

* "Je suis super puissant pouvant même écraser les cyclons, mais démerdez vous !"
*"C'est votre destin ! Yo..... !"
* "Cette Terre n'est pas la bonne. Je sais ou elle est exactement. Mais, démerdez vous !"
Et dans la saison 2 :
* "C'est un signe messianique !", dit le curé euh... le super SCIENTIFIQUE pythagorien.
* "Mais, quels cons ! Ils connaissent les voyages dans l'espace et l'élément le plus élémentaire mais pas les boutons de chasses d'eau les plus élémentaires !"
* "..." "Adama !" "Oui, docteur." "Ta gueule !" "..."
* "Je suis le messi" dit le docteur machin avec un carrisme de têtard, fils de Starbeuk. "Messi ! Mais non ! Je te promet, Je n'ai jamais couché avec sa mère. Dieu m'en est témoin", dit-il à sa dulcinée.


Soit en claire :
Saison 1 : L'exode
Saison 2 : La terre promise, la colonisation et le nouveau testament

Les allusions anti-communistes (guerre froide oblige), sont des plus grotesque et aussi complétement nulle.

Ce n'est même pas un plagiat de la guerre des étoiles. C'est un "Canada dry", ça a la couleur de la guerre des étoiles mais pas le goût. "L'habit ne me fait !".

La guerre des étoiles s'inspire des événements de la seconde mondiale et pas seulement en apparence.

épisode 1-2-3 : La montée de l'empirisme et de la prise de pouvoir de son représentant le plus absolu par la voie démocratique la plus légale soutenu par le pouvoir capitaliste (commerce, banque, entreprise capitaliste). Dans Star Wars, les représentant de ce dernier vont être éliminés par le "nouvelle ordre".
La société nazi fut en effet la société la plus parfaite, un ordre absolu, un nouvelle ordre (dans tous les sens du termes) :
* pas un plis sur les chemises et les pantalons ;
* pas une crottes de chien sur les trottoirs...etc ;
* ...

> C'est à dire une société ou la vie est des plus belles en apparence.

Sauf si, on n'est pas blanc, on est de conviction communiste et même socialiste, de confession religieuse juive, de peuplade tsigane, de personne handicapé ou homosexuelle...etc c'est à dire si on est catégorié selon les préjugés sociales comme parias, anormaux à la société c'est à dire comme tous ce qui dérangent l'ordre et qui font tâches à l'Ordre même encore aujourd'hui .

Cet ordre idéal était admirait et rêvait par les représentants de la sphère du pouvoir du monde occidentiste, de Roosevelt à Pétain, des républiques aux monarchies, du plus petit homme à Dieu.
Elle fut aussi la plus jalousait par les autres impérialistes surtout la reine mère de l'impérialisme et de son grand Churchill.

Cependant, ce n'est même pas la menace de concurrence et la guerre possible entre ami impérialiste (qu'il y eut entre Amérique et Japon), ni le sursaut gauchiste dans ces pays dans les années 30 qui a changé cette vision hypnotique d'émerveillement à cet ordre, mais ces horreurs non avoués, découvert juste après guerre. Ce n'est donc même pas ces horreurs qui ont fait bouger le cul à ces grandes nations démocratiques, mais la victoire de Stalingrad par une armée désarmée, détestée, désordonnée contre une armée super puissante, ordonné. Tous auraient voulu que le grand méchant rouge perde contre la brebis égarée. Elle l'aurait même dû perdre puisque l'on a tout fait pour cela ! Quel fut ce miracle ! disent les brebis apeurés. "Il n'y en as pas. la Force fut avec nous, l'être dans toute sa nature !" dit le grand méchant rouge. Ainsi, c'est la peur du rouge et non le monstre de nous-même qui a revorché la situation globale dans cette guerre contre nous-même.

épisode 4 : "Le nouvelle espoir" par la victoire de la bataille de Stalingrad par l'armée rouge incarnée dans SW par les Rogues Squadrons, l'escadron rouge. Les McCarties, les Reagans, les Bushs vont appeler ces états de voyou : "Rogue state".

épisode 5 : La résistance.

épisode 6 : le débarquement.

Décidément, l'habit ne fait pas le moine.
C'est une des raisons que l'on a inventé le concept d'Analogie et d'Homologie en biologie. Mais, que l'on peut utiliser également dans tous les domaines dont en histoire et en art.

Ici, in Galactika (ailes d'oiseau) et SW (ailes de chauve sourie) on retrouve des mondes Analogues (lié à la fonction de vole), tandis que in SW (mâchoire du reptile) et les Ewoks (oreille moyenne du mammifère) sont des mondes homologues (avec un lien historique, évolutif).

Le petit monde du château de Versailles au temps de Louis XIV (et tous milieu de pouvoir et d'administration) est analogue à la société soviétique de par leur phénomène communaliste (cf Alexandre Zinoviev) qui prédomine dans ces milieux sociaux.
Mais, la société soviétique est homologue à la société tsariste par substitution des structures tsaristes en structures soviétiques ce qui a pour conséquence l'extension à toute la société soviétique des phénomènes dominants qui étaient réservés jusque là au milieu restreint de "pouvoir et d'administration". La société impérialiste, dont la société nazi en fut le summum, est une homologie de la société capitaliste du XIX par élévation des phénomènes dominants et significatifs de cette société. La société féodale européenne est homologue à la société occidentiste (depuis La renaissance à aujourd'hui) tandis que Les sociétés féodales européenne, asiatique, tsaristes sont analogues entre elles.

Cependant, la recherche des Analogies et des Homologies ne sont pas si simple que ça.

Voilà, Je me suis un peu lâché.

Donc rien de bien nouveau même en ce moment précis ici et là ?
Si ce n'est que le "coté obscur" du monde est de plus en plus palpable, car la démagogie a beau courir, elle ne rattrape jamais la réalité du désespoir...

Véronique d'E a écrit:

Tout ce que je me rappelle de Richard Hatch, c'est qu'avec ma copine de l'époque on trouvait qu'il aurait fait un Actarus "live" acceptable... alors que D. GALL doublait une autre voix dans la VF de ce feuilleton.



(il faut nous pardonner, nous étions bien jeunes...)

Oui en effet ! Daniel Gall faisait la voie du Colonel Tigh dans Galactica.



Tu as une sacrée mémoire !

Moi, je le sais puisque je l'ai regardé il n'y a pas si longtemps que ça et que depuis je suis sur le forum j'arrive à reconnaitre sa voix. J'arrive à concilier maintenant la voix et la doublure, même si cela n'est pas idéel puisque la doublure doit s'effacer totalement devant le personnage.

UFO, qui j'espère tout ce passe bien pour lui et ces proches en Egypte, avait parlé de Galactica.
Cela m'a fortement intrigué.
Lorsque j'ai téléchargé sur la mule le pilote, puis l'ai regardé, je me suis souvenu que je connaissais. Mais cela m'était totalement sorti de la tête contrairement à des série comme Bomber X, La revanche des Gobots ou encore Super Durant.
J'ai donc acheté pour pas cher la série puisque chez moi je ne peux que recevoir qu'un ADSL minimum pour pouvoir télécharger quoi que ce soit rapidement même, par malheur, sur les oeuvres de Go Nagai.


Galactica n'est pas trop mal à condition que l'on ne philosophe pas avec et que l'on ne se prenne pas la tête.

Celui-ci me gonflait.
Il passait les soirs, avant le Vingt Heures, sous la forme de segments d'un quart d'heure.
Beaucoup plus tard, lorsque j'ai pu voir les épisodes en format normal, j'ai réalisé qu'il s'agissait d'un des meilleurs feuilletons de la télévision française, bouzillé par son format de diffusion !
(Sort funeste que connut aussi Chéri Bibi.)
André Valmy, dans le rôle du retors Gibassier est un méchant formidable.

(Quel est le rigolo qui lui a collé une perruque blonde façon Mireille Mathieu dans Quentin Durward ?)

Et celui-là aussi, je le détestais...

Avant de le redécouvrir et de l'apprécier.
Avec Sim, dans le rôle du pervers Ovide Soliveau, capable de vous égorger avec le sourire.
Ce type-là, c'était le Joker !!!

On pouvait écouter les magnifiques génériques de ces émissions sur ce site : http://www.coucoucircus.org/index2.php?
Mais la SESAM l'a fait fermer.
SESAM, FERME-LA !!!

Jeudi, au bazar, je suis tombé sur ça :



Ils ont le droit de faire ça ?!? 0_°

moins compliqué qu'avec Goldorak...

Zaitchick a écrit:

Jeudi, au bazar, je suis tombé sur ça :



Ils ont le droit de faire ça ?!? 0_°

De quoi ? la mise au bazar ou la série en DVD.


Si c'est pour la série tu auras au plus un peu de Goldorak dans l'oreille.

Celui-là, ce qui m'a fait chier, c'est qu'il s'arrête...

https://www.youtube.com/watch?v=RNJ5M1h8Dzw&feature=related

Whaou Derrick !!! un monument de somnolence hypnotique avec les enquêtes du commissaire Maigret, ou pire, l'homme du Picardie, malédiction!
( Le pire épisode de Galactica est cent mille fois plus jouissif )
Sans parler de toutes les daubes de l'ORTF ....

PS t'as raison Zaitchick, Le pinocchio de Comencini est un pur chef d'oeuvre.